Le préfet du maquis

Georges Guingouin, surnommé le « préfet du maquis », commande les FTP de la Haute-Vienne d’une main sûre.
 Maître des coups d’éclat : sabotages ferroviaires, vols de tickets de rationnement, attaques des institutions collaborationnistes… toujours sans jamais verser le sang inutilement.
 Sa stratégie ? Frapper fort, mais avec justice, pour que la Résistance rime avec espoir, pas avec vengeance aveugle.
 Jusqu’en août 1944, il dirige la lutte contre les colonnes allemandes qui ensanglantent le Limousin : Jesser, Brehmer, Elster…
 On le surnomme « Le Grand Georges » : meneur audacieux, stratège respecté, mais aussi figure humaine d’une France qui refuse de plier. Georges Guingouin, c’est la Résistance organisée, sans compromis, sans excès, mais avec une détermination de roc.  "Résister, c’est choisir la justice, même quand tout invite à la haine." Et vous, comment défendrez-vous vos idéaux dans Libération ?